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Durant l'Ancien Régime, laide sociale était généralement assurée par l'Eglise, qui grâce aux dons et legs faits par les fidèles, possédait les moyens nécessaires por assurer ce service.
Suite à la Révolution française, l'aide aux pauvres et aux plus démunis est assurée par le Bureau de Bienfaisance, qui se trouve alors sous le contrôle le l'administration municipale, pendant la période française,
puis de l'administrationtion communale. C'est le Conseil communal que nomme les responsables de cette instance.
Si les fonds proviennent en partie de la commune, la majeure partie des moyens dont dispose le Bureau de Bienfaisance, à ses débuts, émane des dons
des plus nantis, bourgeois, propriétaires terriens, etc. L'Eglise y a encore un certain regard, du moins à ses débuts; les institutions de charité, telles l'hôpital ou hospice de Rebecq est toujours géré par des religieuses.
En fin de comptes, le Bureau de Bienfaisance se muera en Centre Public d'Aide Sociale, le C.P.A.S. actuel.