Ci-dessous, une photo montrant les partisans russes S. Dorogov, B. Denisevich et Vladimir Talda à la ferme Tondeur, à Wisbecq. Voir l'article complet
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Belle photo montrant un groupe de jeunes gens attablés à la terrasse d'un café
Il semble qu'elle a été prise lors d'un match de football; le verso indique Rebecq. Qulqu'un aurait-il un commentaire à apporter à ce sujet, ou bien, reconnaîtrait-il un des hommes de cette photo?
Photo-carte postale montrant les élèves de l'école communale de Bierghes avec les enseignants. Le panneau indique "Oeuvre du repas Scolaire - Ecole communale à Bierghes.
Il n'y a pas d'année indiquée, mais d'après les indications que comporte la photo, on pourrait situer la prise de vue vers les années 20. L'état de la tenue des enfants et leur mine en général nous fait penser que l'on se situe quelques années après la guerre 1914-1918.
Si quelqu'un aurait des information complémentaire à nous aporter à ce propos, merci de nous les communiquer.
Voici quelques photos récemment acquises qui nous donnent une vue sur le bas de la rue du Montgras, à hauteur de la rue Solvay, où l'on aperçoit des soldats britanniques qui entrent à Rebecq, le 4 septembre 1944, jour où notre village a été libéré.
Les photos suivantes représentent queques vues inédites de chars faisant partie du cortège de la Libération qui a eu lieeu en 1945. On y reconnaît entre autres, celui nommé "Breendonk", celi appelé "Les Quatre Grands"
Enfin, une vue inédite datant de 1936, du château de la Grande-Haie avec à l'avant-plan un groupe de personnes.
Le militaire que l'on voit est Herbert Holden. Il porte le badge du Royal Army Service Corps, l'unité britannique de logistique. Ils furent plusieurs à séjourner quelques jours dans la commune. Ces militaires étaient chargés de contrôler si les populations libérées ne manquaient de rien, et si l'ennemi était bien définitivement parti. Ils furent hébergés chez l'habitant.
Nous avons retrouvé ce qui semble être la seule liste de civils belges fournie à l'occupant, pendant la guerre 14-18 par une administration communale.
Il s'agit de celle de Quenast dont le bourgmestre à l'époque, se nommait Dubois et avait été placé à ce poste par l'autorité occupante.
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Suite à la publication des régistres paroissiaux concernant les décès de 1873 à 1929 et à l'envoi à M. D. Uytendaele de l'information relative à Petrus Wanze dont nous parlons ci-dessous,
celui-ci nous a envoyé la copie d'une liste de 17 hommes de Desteldonk (près de Gand) destinés à travailler de manière forcée aux carrières de Quenast.
On y voit qu'ils furent rassemblés le 26 janvier 1918 à Desteldonk et envoyés à Quenast (Hal-Brabant), où ils arrivèrent le même jour.
Nous voyons encore que les carrières de Quenast étaient considérées comme camp de déportation, au même titre que Soltau!
Des 17 déportés de Desteldonk, on compte deux décédés: Petrus Wanze, mort une semaine après son arrivée à Quenast et
Alfons Van Damme qui est décédé le 22 mars suivant, à l'hôpital de Gand, où il est mort très probablement des sévices endurés à Quenast.
Autre remarque: sur les 17 malheureux Flamands, 10 avaient moins de vingt ans...
Nous avons pu numériser les deux registres des décès en la paroisse de Rebecq. Ils couvrent la période s'étendant de 1873 à 1957. Ces ouvrages constituent un outil de recherche précieux. Outre les renseignements relatifs aux défunts, on peut y trouver des informations intéressantes comme par exemple la recrudescence des décès des années 1916, 1917 et 1918.
Alors que la moyenne annuelle de l'époque est d'une cinquantaine de décès par an, pour ces trois années, on observe que plus du double de paroissiens ont passé de vie à trépas au cours de ces trois années: nous étions en pleine guerre et la grippe espagnole faisait ses ravages.
Une autre anecdote: Voici trois ans, environ, une personne du cercle d'Histoire de Oost-Oudburg (Gand) nous demandait si nous avions des informations relatives au décès de son aïeul, Pierre (Petrus) Wante, originaire de Desteldonck et qui était normalement utilisé comme travailleur forcé à la carrière de Quenast.
Rien ne nous avait permis de confirmer ou non ces faits. Le registre de la paroisse St-Géry nous apporte enfin la réponse attendue par notre correspondant. Pierre Wante est décédé le 4 février 1918 et a été enterré dans le cimetière de Rebecq le 7 février suivant. Et cet homme est bien noté comme "Captivus civilis", prisonnier civil.
Les deux registres en question et la notification du décès de Pierre Wante, travailleur déporté de Desteldonck à Quenast, en 1917.
L'ensemble des rapports des réunions du Conseil de Fabrique d'église de Rebecq est contenu dans deux registres dont le premier commence en 1873 et se termine 100 ans plus tard, en 1973.
le deuxième reprend les PV de 1974 à 2014.
Ces documents sont visibles à la page consacrée à la Fabrique d'église (voir ici)
Ces registres feront prochainement l'objet d'une recension des sujets traités qui sera également publiée.
Carte sur papier montrant "où sont les environs de Halle, Enghien et Braine-le-Comte"
Léon Dusart fit partie des Rebecquois arrêtés par les Allemands, le 7 septembre 1916 et envoyés à Soltau où il mourrut dans les conditions excécrables qui nous ont été rapportées par les survivants.
Il est le 192e homme mentionné sur la liste des rebecquois déportés à Soltau qui en comporte 448. (Voir ici)
Ce document alimentera le travail actuellement réalisé pour le centenaire de ce drame lié à la Première Guerre Mondiale.